Oh Toi, aux cieux
De sa couronne sombre, boisée
De l’enfance, de l’enfance
Nul repos pour les yeux, nulle paix pour le cœur
Les étrangers n’auront d’autre choix
Si loin de moi, si loin
Je connais le malheur et la peine
Ces merveilleux rêves dorés
Mon cœur confiant
Ignorant tout malheur, toute douleur
La poitrine emplie d’une sombre nuit
Ce fut lors d’une belle journée d’été